Signé Khomeiny.

"L'homme peut avoir le plaisir sexuel d'un enfant aussi jeune qu'un bébé. Cependant il ne doit pas pénétrer, mais sodomiser l'enfant. Si l'homme pénètre et cause des dégâts à l'enfant alors il devrait (admirez le conditionnel !) être responsable pour l'existence de cette fille pour toute sa vie. Cette fille, cependant ne compte pas comme une de ses quatre femmes permanentes. Cet homme ne peut pas épouser la sœur de cette fille."

"Il est préférable pour une fille d'être mariée dans un tel temps quand elle commence sa première menstruation dans la maison de son mari plutôt que la maison de son père. Un tel père qui donne en mariage une fille si jeune aura une place permanente au Paradis."

(Ruhollah Khomeyni, "Tahrirolvasyleh", quatrième volume, Darol Orm, Gom, Iran, 1990)

En Occident, pareils propos relèvent avec raison de la pédophilie pure et simple. De même, lorsque les petites magouilles pédophiles du clergé, catholique ou protestant mais surtout catholique, sont découvertes et amenées au grand jour par les medias, les hommes qui s'y sont abandonnés sont discrédités même si, je l'admets bien volontiers, le Vatican essaie toujours de sauver les siens et que notre nouveau pape, Benoît XVI, préfère certainement un pédophile à un homosexuel.

Mais, que ce soit dans les sphères laïques ou religieuses occidentales, pareille apologie du plus ignoble des crimes n'a pas droit de cité.