Journée commémorative de l'esclavage.
Ce sera le 10 mai, je crois. A priori, je ne suis pas hostile à l'idée qu'on puisse ériger un jour fixe en mémoire de ces femmes, de ces hommes et de ces enfants qui périrent sous le joug de la traite négrière.
Mais ce qui m'insupporte, c'est la falsification historique à laquelle, sous couvert de sentiments ma foi fort beaux, une certaine intelligentsia tente de se livrer.
Présenté comme il l'est par les médias français - notamment la radio, qui raccourcit toujours tout - l'esclavage semble avoir été inventé au ... XVIIème siècle, par un souverain évidemment français et dénommé Louis XIV (le prototype du monarque absolu, soit-dit en passant. Point, à la ligne et circulez.
Sont volontairement passés sous silence les 1200 ans du traffic négrier pratiqué par les peuples arabo-musulmans, lesquels commencèrent à infiltrer l'Afrique par le Sahara et bien avant que les Occidentaux arrivent dans les parages.
Sont également passés sous silence le fait que ces moeurs perdurent dans nombre de ces pays.
Nos chevaliers du Souvenir ne pipent pas non plus un seul mot sur le fait que les musulmans renoncèrent bientôt à convertir les Noirs pour la bonne et simple raison que cela les mettait en porte à faux avec l'enseignement de leur soi-disant Prophète.
Rien non plus sur l'esclavage pratiqué par les tribus noires elles-mêmes lorsqu'elles partaient guerre. Rien non plus sur les deals passés entre chefs noirs et marchands musulmans, juifs, puis francs. Rien sur les "catalogues" dressés par les courtiers arabes et où s'étalait la marchandise humaine alors que, à la même époque, la République de Venise, bien occidentale celle-là, n'établissait que des catalogues d'épices, d'objets précieux, etc ... Rien encore sur les gigantesques marchés aux esclaves et la répartition qui y avait cours entre esclaves de basse catégorie et esclaves de luxe, souvent voués au délassement sexuel (et l'on voit d'ailleurs rejaillir ici le spectre sanguinolent de l'excision).
Rien. Rien parce qu'il faut que le Blanc soit le seul coupable. Même si, pour ce faire, ces gens-là se voient contraints de réécrire l'Histoire ou, à tout le moins, d'en occulter des pans impressionnants et capitaux.
Pour en savoir un peu plus sur le vrai visage de l'esclavage, lisez "Les Négriers en terre d'islam", de Jacques Heers, dont vous aurez un bon aperçu sur ce blog, à cette page.
Mais ce qui m'insupporte, c'est la falsification historique à laquelle, sous couvert de sentiments ma foi fort beaux, une certaine intelligentsia tente de se livrer.
Présenté comme il l'est par les médias français - notamment la radio, qui raccourcit toujours tout - l'esclavage semble avoir été inventé au ... XVIIème siècle, par un souverain évidemment français et dénommé Louis XIV (le prototype du monarque absolu, soit-dit en passant. Point, à la ligne et circulez.
Sont volontairement passés sous silence les 1200 ans du traffic négrier pratiqué par les peuples arabo-musulmans, lesquels commencèrent à infiltrer l'Afrique par le Sahara et bien avant que les Occidentaux arrivent dans les parages.
Sont également passés sous silence le fait que ces moeurs perdurent dans nombre de ces pays.
Nos chevaliers du Souvenir ne pipent pas non plus un seul mot sur le fait que les musulmans renoncèrent bientôt à convertir les Noirs pour la bonne et simple raison que cela les mettait en porte à faux avec l'enseignement de leur soi-disant Prophète.
Rien non plus sur l'esclavage pratiqué par les tribus noires elles-mêmes lorsqu'elles partaient guerre. Rien non plus sur les deals passés entre chefs noirs et marchands musulmans, juifs, puis francs. Rien sur les "catalogues" dressés par les courtiers arabes et où s'étalait la marchandise humaine alors que, à la même époque, la République de Venise, bien occidentale celle-là, n'établissait que des catalogues d'épices, d'objets précieux, etc ... Rien encore sur les gigantesques marchés aux esclaves et la répartition qui y avait cours entre esclaves de basse catégorie et esclaves de luxe, souvent voués au délassement sexuel (et l'on voit d'ailleurs rejaillir ici le spectre sanguinolent de l'excision).
Rien. Rien parce qu'il faut que le Blanc soit le seul coupable. Même si, pour ce faire, ces gens-là se voient contraints de réécrire l'Histoire ou, à tout le moins, d'en occulter des pans impressionnants et capitaux.
Pour en savoir un peu plus sur le vrai visage de l'esclavage, lisez "Les Négriers en terre d'islam", de Jacques Heers, dont vous aurez un bon aperçu sur ce blog, à cette page.